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Article 26 VIGUEUR_ETEN, en vigueur du au (Convention collective nationale de la couture parisienne du 10 juillet 1961. Etendue par arrêté du 29 novembre 1982 JONC 20 janvier 1983. Champ d'application fusionné avec celui de la convention collective nationale de la fourrure (IDCC 673) par arrêté ministériel du 27 juillet 2018, avec celui de la convention collective nationale de la chemiserie sur mesure (IDCC 418) et avec celui de la convention collective régionale des tailleurs sur mesure de la région parisienne (IDCC 780) par arrêté ministériel du 16 novembre 2018.)

Article 26 VIGUEUR_ETEN, en vigueur du au (Convention collective nationale de la couture parisienne du 10 juillet 1961. Etendue par arrêté du 29 novembre 1982 JONC 20 janvier 1983. Champ d'application fusionné avec celui de la convention collective nationale de la fourrure (IDCC 673) par arrêté ministériel du 27 juillet 2018, avec celui de la convention collective nationale de la chemiserie sur mesure (IDCC 418) et avec celui de la convention collective régionale des tailleurs sur mesure de la région parisienne (IDCC 780) par arrêté ministériel du 16 novembre 2018.)

Les parties signataires sont d'accord pour réduire au minimum les heures supplémentaires dont le maintien, dans une certaine mesure, est commandé par les besoins impérieux de l'industrie de la couture.

Ces heures supplémentaires feront l'objet d'une demande d'autorisation auprès de l'inspection du travail selon les dispositions de la législation en vigueur.

Aucune heure supplémentaire prévisible la veille ne saurait être exigée sans qu'au préalable les délégués ou le personnel en aient connaissance, cela afin qu'il puissent suggérer tout moyen d'éviter l'heure supplémentaire.

Aucune heure supplémentaire imprévue la veille ne pourra être imposée au salarié.

Le second jour de repos hebdomadaire précédant la présentation de chacune des quatre collections, sous réserve de l'autorisation de l'inspection du travail, il pourra être travaillé 8 heures supplémentaires au tarif majoré de 50 %.

Quand l'horaire de travail entraînera pour les salariés une pré­sence tardive, les employeurs devront assurer la distribution gratuite d'une collation à partir de 20 heures.

Pendant la période des collections, lorsque les maisons sont appelées à faire travailler le personnel le dimanche, elles
devront : payer les heures supplémentaires au tarif majoré de 100 %, rembourser les frais de transport aller et retour domicile-lieu de travail, assurer la gratuité de la cantine ou verser une indemnité de 10 F par repas.

Il ne pourra être exigé d'une mère de famille ayant un ou plusieurs enfants de moins de 10 ans, vivant au foyer, de travailler le dimanche et le jour de repos hebdomadaire (heures supplémentaires ou de récupération).