Les dispositions du I de l'article 1er de l'arrêté du 2 mars 2011 susvisé sont remplacées par les dispositions suivantes :
« I.-Concours externe
« 1. Epreuves écrites d'admissibilité
« Epreuve n° 1 (durée : quatre heures ; coefficient 5).
« Cette épreuve comprend, à partir d'un dossier documentaire sur un sujet d'ordre général contemporain :
« 1° La rédaction d'une note de synthèse ;
« 2° Une réponse à une question conduisant le candidat à formuler une proposition ou un avis argumenté, complété, le cas échéant, d'une action à mettre en œuvre.
« Le dossier documentaire ne peut excéder 25 pages.
« Epreuve n° 2 (durée : deux heures trente ; coefficient 3).
« Cette épreuve se décompose en deux parties.
« Une première partie consistant en un questionnaire à choix multiples portant sur les thèmes suivants :
« 1° Environnement administratif, économique et financier ;
« 2° Union européenne ;
« 3° Culture numérique ;
« 4° Raisonnement logique ;
« 5° Anglais.
« Le programme de ce questionnaire à choix multiples figure en annexe.
« Une seconde partie consistant en des questions à réponses courtes sur l'une des matières suivantes choisie par le candidat :
« 1° Droit public ;
« 2° Droit privé ;
« 3° Finances publiques ;
« 4° Mathématiques, statistiques et probabilités ;
« 5° Compatibilité et analyse financière ;
« 6° Analyse économique ;
« 7° Sciences politiques ;
« 8° Littérature ;
« 9° Histoire et géographie.
« Le programme de chacune de ces matières figure en annexe.
« 2. Epreuve orale d'admission
« (durée : trente-cinq minutes ; coefficient 8).
« L'entretien avec le jury débute par une présentation par le candidat de son parcours, durant cinq minutes au plus.
« Les titulaires d'un doctorat peuvent présenter leur parcours et leurs travaux en vue d'assurer la reconnaissance des acquis de l'expérience professionnelle résultant de la formation à la recherche et par la recherche, conformément à l'article L. 412-1 du code de la recherche.
« L'entretien se poursuit par des échanges destinés à apprécier les aptitudes du candidat, acquises notamment dans le cadre de son parcours, ainsi que ses motivations pour rejoindre la direction générale des finances publiques.
« Il se termine par des mises en situation visant à évaluer le savoir-être du candidat en vue de l'exercice des fonctions d'un inspecteur des finances publiques. »