Après le premier alinéa de l'article 521-1 du code pénal, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :
« En cas de sévices graves ou d'actes de cruauté sur un animal domestique, apprivoisé ou tenu en captivité prévus au présent article, est considéré comme circonstance aggravante le fait d'être le propriétaire ou le gardien de l'animal. »