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Article ENTIEREMENT_MODIF (Arrêté du 13 février 2013 modifiant l'arrêté du 25 février 2010 fixant la composition du dossier à fournir aux commissions d'autorisation d'exercice et au Conseil supérieur de la pharmacie compétents pour l'examen des demandes présentées en vue de l'exercice en France des professions de médecin, chirurgien-dentiste, sage-femme et pharmacien)

Article ENTIEREMENT_MODIF (Arrêté du 13 février 2013 modifiant l'arrêté du 25 février 2010 fixant la composition du dossier à fournir aux commissions d'autorisation d'exercice et au Conseil supérieur de la pharmacie compétents pour l'examen des demandes présentées en vue de l'exercice en France des professions de médecin, chirurgien-dentiste, sage-femme et pharmacien)



A N N E X E
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RAPPORT D'ÉVALUATION DES FONCTIONS HOSPITALIÈRES CONCERNANT LES CANDIDATS À L'AUTORISATION D'EXERCICE DE LA MÉDECINE EN FRANCE
Spécialité d'inscription :
Identité du candidat :
Nom et prénom :
Etablissement et structure d'affectation :
Date de recrutement par l'établissement :
Statut d'exercice :


I.-Description de l'activité dans la structure


La structure d'exercice est-elle agréée pour la formation des internes dans la spécialité :
Oui Non
Si oui, dans quelle spécialité :
Si non y a-t-il une convention avec une structure agréée qui a permis au candidat d'avoir une activité formatrice ?
Oui Non
Si oui dans quel établissement et de quelle nature ?
Activités d'hospitalisation :
Activités de consultation : précisez notamment le nombre moyen de consultations assurées
Gardes, astreintes :
Activité opératoire ou endoscopique ; fournir un tableau correspondant à la période d'exercice précisant le nombre, le type d'intervention et le rang d'opérateur :
― pour les spécialités chirurgicales : tableau opératoire ;
― pour la gastro-entérologie et hépatologie et la pneumologie : tableau d'activités endoscopiques.


Tableau relatif à l'activité opératoire ou endoscopique



TYPE D'ACTE

PÉRIODE

NOMBRE

POSITION

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Pour d'autres spécialités : préciser les actes médico-techniques :

TYPE D'ACTE

PÉRIODE

NOMBRE

POSITION

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Activités non cliniques spécifiques à certaines spécialités (ex. : biologie médicale, santé publique...) :
Eventuellement, éléments particuliers d'exercice (ex. : réseaux de soins, activités d'éducation thérapeutique, etc.) :


II.-Evaluations des compétences


Evaluer de A à E :
A : très bon.
B : bon.
C : moyen.
D : insuffisant.
E : sans objet.


1. Compétences médicales




A

B

C

D

E

Connaissances théoriques

 

 

 

 

 

Aptitudes diagnostiques

 

 

 

 

 

Aptitudes thérapeutiques

 

 

 

 

 

Aptitudes à la prise en charge des urgences

 

 

 

 

 

Maîtrise des gestes techniques de la spécialité

 

 

 

 

 

Connaissance de la réglementation sanitaire

 

 

 

 

 

Qualité de l'organisation du travail

 

 

 

 

 

Présentation orale des dossiers médicaux

 

 

 

 

 

Tenue des dossiers patients

 

 

 

 

 


Le candidat a-t-il suivi des formations complémentaires pendant la durée de son exercice :
Oui Non
Si oui, lesquelles :
Le candidat est-il membre de sociétés savantes dans sa discipline ou d'un collège de spécialité ?
Oui Non
Appréciation sur les compétences médicales
Appréciation sur l'autonomie d'exercice


2. Intégration dans l'équipe médicale et paramédicale du service et dans l'établissement





A

B

C

D

E

Aptitude au travail en équipe

 

 

 

 

 

Respect des protocoles de soins et d'hygiène

 

 

 

 

 

Respect des règles d'organisation du service et de la permanence des soins

 

 

 

 

 

Tenue et comportement

 

 

 

 

 

Assiduité et ponctualité

 

 

 

 

 


Le candidat participe-t-il activement aux staffs et revues de dossiers ?
Oui Non
Participe-t-il à des réunions de concertation pluridisciplinaire (RCP) ou revues de mortalité et de morbidité (RMM) ?
Oui Non
Le candidat est-il membre d'instances ou de comités au sein de l'établissement ?
Oui Non
Si oui lesquelles


3. Capacités relationnelles




A

B

C

D

E

Avec les patients

 

 

 

 

 

Avec les familles

 

 

 

 

 

Avec les confrères

 

 

 

 

 

Avec les membres de l'équipe non médicale

 

 

 

 

 


*
* *


Appréciation d'ensemble détaillée du responsable de la structure sur l'exercice professionnel
Axes d'amélioration identifiés, le cas échéant, et recommandations
Date :
Qualité du signataire :
Signature :

Visa de l'administration hospitalière

Visa du président de la CME


L'original de ce rapport est remis à l'intéressé
" Constitue un faux toute altération frauduleuse de la vérité, de nature à causer un préjudice et accompli par quelque moyen que ce soit, dans un écrit ou tout autre support d'expression de la pensée qui a pour objet ou qui peut avoir pour effet d'établir la preuve d'un droit ou d'un fait ayant des conséquences juridiques. ” (Code pénal, art. 441-6.)


Rappel
I.-Conditions d'exercice de la médecine en France


Conformément à l'article L. 4111-1 du code de la santé publique, nul ne peut exercer la médecine en France s'il n'est :
― titulaire d'un diplôme, certificat ou autre titre mentionné à l'article L. 4131-1 ;
― de nationalité française, de citoyenneté andorrane ou ressortissant d'un Etat membre de la Communauté européenne ou partie à l'accord sur l'Espace économique européen, d'un pays lié par une convention d'établissement avec la France, du Maroc ou de la Tunisie ;
― inscrit au tableau de l'ordre des médecins, cette dernière condition étant notamment subordonnée à la réalisation des deux premières.
Ces conditions sont cumulatives. Les médecins titulaires d'un doctorat en médecine obtenu en France sont dispensés de la condition de nationalité.
Les médecins, quelle que soit leur nationalité, titulaires de diplômes obtenus hors Union européenne ou Espace économique européen peuvent être recrutés par les établissements publics de santé sous un statut d'associé, uniquement s'ils remplissent certaines conditions d'exercice antérieur en France. Ils ne sont pas de plein exercice et ne participent à l'activité du service hospitalier que sous la responsabilité directe du responsable de la structure ou de l'un de ses collaborateurs ; ils peuvent exécuter des actes médicaux de pratique courante et sont associés au service de garde (art. R. 6152-538 et R. 6152-632 du code de la santé publique).


II.-Procédure d'autorisation à l'exercice de la médecine


Par dérogation, conformément aux dispositions de l'article L. 4111-2 du code de la santé publique, le ministre chargé de la santé peut, après avis d'une commission présidée par ses services, autoriser individuellement à exercer dans une spécialité, des médecins titulaires d'un diplôme permettant l'exercice de la profession de médecin dans le pays d'obtention de ce diplôme, qui ont satisfait à des épreuves anonymes de vérification des connaissances organisées par spécialité et ont justifié d'un niveau suffisant de maîtrise de la langue française.
Les médecins qui ont réussi les épreuves doivent en outre justifier, avant le passage devant la commission d'autorisation d'exercice, de fonctions hospitalières accomplies dans une structure ou un organisme agréés pour la formation des internes. Les dispositions pérennes issues du code de la santé publique et les dispositions transitoires applicables jusqu'au 31 décembree 2011 prévoient que les lauréats doivent justifier de trois ans de fonctions hospitalières. La loi du 1er février 2012 a instauré une nouvelle épreuve de vérification des connaissances et a limité à une année la durée des fonctions hospitalières requises pour les lauréats de cette nouvelle épreuve. Toutefois, les fonctions exercées avant la réussite aux épreuves peuvent être prises en compte après avis de la commission.
Toutes les informations concernant le déroulement de ces procédures figurent sur le site internet du Centre national de gestion : www. cng. sante. fr (rubrique " Concours et examens, ― Procédure d'autorisation d'exercice ”).
Le présent dossier sert à évaluer les fonctions hospitalières effectuées par ces médecins dans le cadre de ces procédures. Cette évaluation est à réaliser chaque semestre par le responsable de la structure d'exercice du candidat. L'ensemble des évaluations est porté au dossier du candidat lorsqu'il sollicite, devant la commission, l'autorisation de plein exercice de la médecine en France.


A N N E X E 3


RAPPORT D'ÉVALUATION DES FONCTIONS HOSPITALIÈRES CONCERNANT LES CANDIDATS À L'AUTORISATION D'EXERCICE DE LA PROFESSION DE CHIRURGIEN-DENTISTE EN FRANCE
Précisez, le cas échéant, la spécialité :
Orthopédie dento-faciale (ODF)
Chirurgie orale :
Identité du candidat
Nom et prénom :
Etablissement et structure d'affectation :
Date de recrutement par l'établissement :
Statut d'exercice :


I.-Description de l'activité dans la structure


La structure d'exercice est-elle agréée pour la formation des internes :
Oui Non
Si non, y a-t-il une convention avec une structure agréée qui a permis au candidat d'avoir une activité formatrice ? Oui Non
Si oui dans quel établissement et de quelle nature ?
Activités d'hospitalisation :
Activités de consultation ; précisez notamment le nombre moyen de consultations assurées par mois :
Gardes, astreintes :
Activité opératoire : fournir un tableau correspondant à la période d'exercice précisant le nombre, le type d'intervention et le rang opératoire :


Tableau relatif à l'activité opératoire



TYPE D'ACTE

PÉRIODE

NOMBRE

RANG
d'opérateur

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



Eventuellement, éléments particuliers d'exercice (ex. : réseaux de soins, activités de prévention) :


II.-Evaluation des compétences


Evaluer de A à D :
A : très bon.
B : bon.
C : moyen.
D : insuffisant.
E : sans objet.


A

B

C

D

E

Connaissances théoriques

 

 

 

 

 

Connaissances pratiques

 

 

 

 

 

Aptitudes diagnostiques

 

 

 

 

 

Aptitudes thérapeutiques

 

 

 

 

 

Maîtrise des gestes techniques de la spécialité

 

 

 

 

 

Connaissance de la réglementation sanitaire

 

 

 

 

 

Qualité de l'organisation du travail

 

 

 

 

 

Tenue des dossiers patients

 

 

 

 

 


Le candidat a-t-il suivi des formations complémentaires pendant la durée de son exercice :
Oui Non
Si oui lesquelles :
Appréciation sur les compétences
Appréciation sur l'autonomie d'exercice


III.-Intégration dans la structure et dans l'établissement


Evaluer de A à D :
A : très bon.
B : bon.
C : moyen.
D : insuffisant.
E : sans objet.


A

B

C

D

Aptitude au travail en équipe

 

 

 

 

Respect des protocoles de soins et d'hygiène

 

 

 

 

Respect des règles d'organisation de la structure et de la permanence des soins

 

 

 

 

Tenue et comportement

 

 

 

 

Assiduité et ponctualité

 

 

 

 


Le candidat participe-t-il activement aux staffs ou revues de dossiers ?
Oui Non
Le candidat est-il membre d'instances ou de comités au sein de l'établissement ?
Oui Non
Si oui lesquelles :


IV.-Capacités relationnelles


Evaluer de A à D :
A : très bon.
B : bon.
C : moyen.
D : insuffisant.


A

B

C

D

Avec les patients

 

 

 

 

Avec les confrères

 

 

 

 

Avec les membres de l'équipe médicale et non médicale

 

 

 

 


*
* *


Appréciation d'ensemble détaillée du responsable de la structure sur l'exercice professionnel :
Axes d'amélioration identifiés, le cas échéant, et recommandations
Date :
Nom et qualité du signataire :
Signature :


Visa de l'administration hospitalière

Visa du président de la CME


L'original de ce rapport est remis à l'intéressé
" Constitue un faux toute altération frauduleuse de la vérité, de nature à causer un préjudice et accompli par quelque moyen que ce soit, dans un écrit ou tout autre support d'expression de la pensée qui a pour objet ou qui peut avoir pour effet d'établir la preuve d'un droit ou d'un fait ayant des conséquences juridiques. ” (Code pénal, art. 441-6.)


Rappel
I.-Conditions d'exercice de la profession
de chirurgien-dentiste en France


Conformément à l'article L. 4111-1 du code de la santé publique, nul ne peut exercer la profession de chirurgien-dentiste en France s'il n'est :
― titulaire d'un diplôme, certificat ou autre titre mentionné à l'article L. 4141-3 du CSP ;
― de nationalité française, de citoyenneté andorrane ou ressortissant d'un Etat membre de la Communauté européenne ou partie à l'accord sur l'Espace économique européen, d'un pays lié par une convention d'établissement avec la France, du Maroc ou de la Tunisie ;
― inscrit au tableau de l'Ordre des chirurgiens-dentistes, cette dernière condition étant notamment subordonnée à la réalisation des deux premières.
Ces conditions sont cumulatives. Les chirurgiens-dentistes titulaires d'un diplôme obtenu en France sont dispensés de la condition de nationalité.
Les chirurgiens-dentistes, quelle que soit leur nationalité, titulaires de diplômes obtenus hors Union européenne ou Espace économique européen, peuvent être recrutés par les établissements publics de santé sous un statut d'associé, uniquement s'ils remplissent certaines conditions d'exercice antérieur en France. Ils ne sont pas de plein exercice et ne participent à l'activité hospitalière que sous la responsabilité directe du responsable de la structure ou de l'un de ses collaborateurs ; ils peuvent exécuter des actes de pratique courante et sont associés au service de garde (art. R. 6152-538 et R. 6152-632 du code de la santé publique).


II.-Procédure d'autorisation d'exercice


Par dérogation, conformément aux dispositions de l'article L. 4111-2 du code de la santé publique, le ministre chargé de la santé peut, après avis d'une commission présidée par ses services, autoriser individuellement à exercer, le cas échéant dans une spécialité, des chirurgiens-dentistes titulaires d'un diplôme permettant l'exercice de la profession dans le pays d'obtention de ce diplôme. Ils doivent avoir satisfait à des épreuves anonymes de vérification des connaissances organisées, le cas échéant, par spécialité et justifier d'un niveau suffisant de maîtrise de la langue française.
Les chirurgiens-dentistes lauréats des épreuves doivent en outre justifier, avant le passage devant la commission d'autorisation d'exercice, d'une année de fonctions hospitalières accomplies dans une structure ou un organisme agréés pour la formation des internes. La durée de fonctions est identique pour tous les lauréats, la loi du 1er février 2012, qui a instauré une nouvelle épreuve de vérification des connaissances, n'ayant pas introduit de modification sur ce point pour les chirurgiens-dentistes. L'année de fonctions hospitalières est effectuée sous le statut d'assistant associé ou d'attaché associé. Les fonctions exercées avant la réussite aux épreuves sous certains statuts fixés par décret peuvent être prises en compte après avis de la commission.
Toutes les informations concernant le déroulement de ces procédures figurent sur le site internet du Centre national de gestion : www. cng. sante. fr (rubrique " Concours et examens, Procédure d'autorisation d'exercice ”).
Le présent dossier sert à évaluer les fonctions hospitalières effectuées par ces chirurgiens-dentistes dans le cadre de cette procédure. Cette évaluation est à réaliser chaque semestre par le responsable de la structure d'exercice du candidat. L'ensemble des évaluations est porté au dossier du candidat lorsqu'il sollicite, devant la commission, l'autorisation de plein exercice de la profession en France.


A N N E X E 4


RAPPORT D'ÉVALUATION DES FONCTIONS HOSPITALIÈRES CONCERNANT LES CANDIDATS À L'AUTORISATION D'EXERCICE DE LA PROFESSION DE SAGE-FEMME EN FRANCE
Identité du candidat :
Nom et prénom :
Etablissement et structure d'affectation :
Date de recrutement par l'établissement :
Statut d'exercice :


I.-Description de l'activité dans la structure


Précisez le niveau de la maternité d'accueil :
1 2 A 2 B 3
Activités en secteur d'hospitalisation (précisez notamment le secteur d'exercice et le rôle auprès des femmes et des nouveau-nés)
Activités de consultation ; précisez notamment le nombre moyen de consultations assurées par mois et le type de consultations (prénatales, postnatales, contraception, suivi gynécologique) :
Gardes :
Bilan d'activités : fournir un tableau correspondant à la période d'exercice précisant le nombre d'accouchements effectués et, le cas échéant, certains actes techniques effectués :


Tableau relatif à l'activité



TYPE D'ACTE

PÉRIODE

NOMBRE

POSITION D'OPÉRATEUR

Accouchements

 

 

 

Réfection d'épisiotomies ou de déchirures périnéales

 

 

 

Pose de DIU

 

 

 

Retrait de DIU

 

 

 

Pose d'implant contraceptif

 

 

 

Retrait d'implant contraceptif

 

 

 

Autre

 

 

 


Participation à l'analgésie loco-régionale : Oui Non
Eventuellement, éléments particuliers d'exercice (ex. : réseaux de soins, activités de prévention) :


II.-Evaluation des compétences


Evaluer de A à D :
A : très bon.
B : bon.
C : moyen.
D : insuffisant.
E : sans objet.


A

B

C

D

E

Connaissances théoriques

 

 

 

 

 

Connaissances pratiques :

 

 

 

 

 

En consultations pré et postnatales

 

 

 

 

 

En consultations de suivi gynécologique et de prévention

 

 

 

 

 

En salle de travail

 

 

 

 

 

Prise en charge du nouveau-né normal et en détresse

 

 

 

 

 

Suites de couches

 

 

 

 

 

Maîtrise des gestes techniques

 

 

 

 

 

Réaction adaptée dans les situations d'urgence

 

 

 

 

 

Connaissance de la réglementation sanitaire

 

 

 

 

 

Maîtrise de la prescription et de l'analyse des résultats des examens complémentaires

 

 

 

 

 

Maîtrise de la prescription médicamenteuse (contraception notamment)

 

 

 

 

 

Qualité de l'organisation du travail

 

 

 

 

 

Tenue des dossiers patientes et nouveau-nés

 

 

 

 

 

Connaissance des textes régissant l'exercice de la profession et de la réglementation sanitaire

 

 

 

 

 


Le candidat a-t'il suivi des formations complémentaires pendant la durée de son exercice :
Oui Non
Si oui lesquelles :
Appréciation globale sur les compétences
Appréciation sur l'autonomie d'exercice


III.-Intégration dans la structure et dans l'établissement


Evaluer de A à D :
A : très bon.
B : bon.
C : moyen.
D : insuffisant.


A

B

C

D

Aptitude au travail en équipe

 

 

 

 

Respect des protocoles de soins et d'hygiène

 

 

 

 

Respect des règles d'organisation de la structure et de la permanence des soins

 

 

 

 

Tenue et comportement

 

 

 

 

Assiduité et ponctualité

 

 

 

 


Le candidat est-il membre d'instances ou de comités au sein de l'établissement ?
Oui Non
Si oui lesquelles :


IV.-Capacités relationnelles


Evaluer de A à D :
A : très bon.
B : bon.
C : moyen.
D : insuffisant.


A

B

C

D

Avec les patientes et leur famille

 

 

 

 

Avec les collègues sages-femmes et les médecins

 

 

 

 

Avec les soignants

 

 

 

 


*
* *


Appréciation détaillée de la sage-femme ayant des fonctions d'encadrement dans la structure :
Appréciation d'ensemble détaillée du responsable de la structure sur l'exercice professionnel :
Axes d'amélioration identifiés, le cas échéant, et recommandations
Date :
Nom et qualité du signataire :
Signature :

Visa de l'administration hospitalière

Visa du président de la CME


L'original de ce rapport est remis à l'intéressé
" Constitue un faux toute altération frauduleuse de la vérité, de nature à causer un préjudice et accompli par quelque moyen que ce soit, dans un écrit ou tout autre support d'expression de la pensée qui a pour objet ou qui peut avoir pour effet d'établir la preuve d'un droit ou d'un fait ayant des conséquences juridiques. ” (Code pénal, art. 441-6.)


Rappel
I.-Conditions d'exercice de la profession de sage-femme


Conformément à l'article L. 4111-1 du code de la santé publique, nul ne peut exercer la profession de sage-femme en France s'il n'est :
― titulaire d'un diplôme, certificat ou autre titre mentionné à l'article L. 4151-5 du CSP ;
― de nationalité française, de citoyenneté andorrane ou ressortissant d'un Etat membre de la Communauté européenne ou partie à l'accord sur l'Espace économique européen, d'un pays lié par une convention d'établissement avec la France, du Maroc ou de la Tunisie ;
― inscrit au tableau de l'ordre des sages-femmes, cette dernière condition étant notamment subordonnée à la réalisation des deux premières.
Ces conditions sont cumulatives. Les sages-femmes titulaires d'un diplôme obtenu en France sont dispensées de la condition de nationalité.


II.-Procédure d'autorisation d'exercice


Par dérogation, conformément aux dispositions de l'article L. 4111-2 du code de la santé publique, le ministre chargé de la santé peut, après avis d'une commission présidée par ses services, autoriser individuellement à exercer des sages-femmes titulaires d'un diplôme permettant l'exercice de la profession dans le pays d'obtention de celui-ci. Elles doivent avoir satisfait à des épreuves anonymes de vérification des connaissances et justifier d'un niveau suffisant de maîtrise de la langue française.
Les sages-femmes lauréates des épreuves doivent en outre justifier, avant le passage devant la commission d'autorisation d'exercice, d'une année de fonctions hospitalières accomplies dans l'unité d'obstétrique d'un établissement public de santé ou d'un établissement privé participant au service public. La durée des fonctions est identique pour tous les lauréats, la loi du 1er février 2012, qui a instauré une nouvelle épreuve de vérification des connaissances, n'ayant pas introduit de modification sur ce point pour les sages-femmes. L'année de fonctions hospitalières est effectuée sous le statut de sage-femme associée mentionné aux articles R. 6152-543 et suivants. Elles ne disposent pas du plein exercice et sont placées sous la responsabilité directe du chef de pôle ou du responsable de la structure interne dans lesquelles elles sont affectées. Elles participent aux activités de la structure dans le cadre de l'organisation définie par la sage-femme cadre supérieur ou assistant le chef de pôle.
Toutes les informations concernant le déroulement de ces procédures figurent sur le site internet du Centre national de gestion : www. cng. sante. fr (rubrique " concours et examens, Procédure d'autorisation d'exercice ”).
Le présent dossier sert à évaluer les fonctions hospitalières effectuées par les sages-femmes dans le cadre de cette procédure. Cette évaluation est à réaliser chaque semestre par la sage-femme cadre et le responsable de la structure d'exercice. L'ensemble des évaluations est porté au dossier de la candidate lorsqu'elle sollicite, devant la commission, l'autorisation de plein exercice de la profession en France.


A N N E X E 5


RAPPORT D'ÉVALUATION DES FONCTIONS HOSPITALIÈRES CONCERNANT LES CANDIDATS À L'AUTORISATION D'EXERCICE DE LA PHARMACIE EN FRANCE
Précisez, le cas échéant, la spécialité :
Biologie médicale :
Identité du candidat :
Nom et prénom :
Etablissement et structure d'affectation :
Date de recrutement par l'établissement :
Statut d'exercice :


I.-Description de l'activité dans la structure


La structure d'exercice est-elle agréée pour la formation des internes :
Oui Non
Si non, y a-t-il une convention avec une structure agréée qui a permis au candidat d'avoir une activité formatrice ?
Oui Non
Si oui dans quel établissement et de quelle nature ?
Activités pharmaceutiques ou biologiques (s'il s'agit de biologie spécialisée, préciser le champ d'exercice) :
Gardes, astreintes :
Eventuellement, éléments particuliers d'exercice (ex. : réseaux de soins, éducation thérapeutique...) :


II.-Evaluation des compétences


Evaluer de A à E :
A : très bon.
B : bon.
C : moyen.
D : insuffisant.
E : sans objet.


1. Pharmacie polyvalente




A

B

C

D

E

Aptitudes pharmaceutiques :

 

 

 

 

 

Activités obligatoires :

 

 

 

 

 

Délivrance des médicaments et des dispositifs médicaux

 

 

 

 

 

Activités optionnelles de la PUI :

 

 

 

 

 

Préparations (nutrition parentérale, cytostatiques..)

 

 

 

 

 

Vente aux patients ambulatoires

 

 

 

 

 

Radiopharmacie

 

 

 

 

 

Stérilisation des dispositifs

 

 

 

 

 

Délivrance des aliments diététiques destinés à des fins médicales spéciales

 

 

 

 

 

Connaissance de la réglementation sanitaire

 

 

 

 

 

Qualité de l'organisation du travail

 

 

 

 

 

Tenue des dossiers pharmaceutiques

 

 

 

 

 


2. Biologie médicale




A

B

C

D

E

Connaissances théoriques

 

 

 

 

 

Aptitudes à l'exercice de la biologie médicale :

 

 

 

 

 

Phase préanalytique

 

 

 

 

 

Phase analytique

 

 

 

 

 

Phase postanalytique : validation et interprétation des résultats

 

 

 

 

 

Connaissance de la réglementation en biologie médicale

 

 

 

 

 

Qualité de l'organisation du travail

 

 

 

 

 

Compétence en assurance qualité

 

 

 

 

 




Appréciation sur les compétences :
Appréciation sur l'autonomie d'exercice :


III.-Intégration dans l'équipe médicale et paramédicale
de la structure et dans l'établissement


Evaluer de A à D :
A : très bon.
B : bon.
C : moyen.
D : insuffisant.
E : sans objet.


A

B

C

D

E

Aptitude au travail en équipe

 

 

 

 

 

Respect des protocoles

 

 

 

 

 

Respect des règles d'organisation de la structure et de la continuité du service

 

 

 

 

 

Tenue et comportement

 

 

 

 

 

Assiduité et ponctualité

 

 

 

 

 


Le candidat participe-t-il activement aux staffs ou revues de dossiers ? Oui Non
Le candidat est-il membre d'instances ou de comités au sein de l'établissement ? Oui Non
Si oui lesquelles :


IV.-Capacités relationnelles


Evaluer de A à D :
A : très bon.
B : bon.
C : moyen.
D : insuffisant.
E : sans objet.


A

B

C

D

E

Avec l'équipe médicale et non médicale de la structure d'exercice

 

 

 

 

 

Avec les membres de l'équipe médicale et non médicale des pôles cliniques de l'établissement

 

 

 

 

 

Avec les patients

 

 

 

 

 


*
* *


Appréciation d'ensemble détaillée du responsable de la structure sur l'exercice professionnel :
Axes d'amélioration identifiés, le cas échéant, et recommandations
Date
Nom et qualité du signataire :
Signature :

Visa de l'administration hospitalière

Visa du président de la CME OU de la CMEL


L'original de ce rapport est remis à l'intéressé
" Constitue un faux toute altération frauduleuse de la vérité, de nature à causer un préjudice et accompli par quelque moyen que ce soit, dans un écrit ou tout autre support d'expression de la pensée qui a pour objet ou qui peut avoir pour effet d'établir la preuve d'un droit ou d'un fait ayant des conséquences juridiques. ” (Code pénal, art. 441-6.)


Rappel
I.-Conditions d'exercice de la pharmacie


Conformément à l'article L. 4221-1 du code de la santé publique, nul ne peut exercer la profession de pharmacien en France s'il n'est :
― titulaire d'un diplôme, certificat ou autre titre mentionnés aux articles L. 4221-2 à L. 4221-5 du CSP ;
― de nationalité française, de citoyenneté andorrane ou ressortissant d'un Etat membre de la Communauté européenne ou partie à l'accord sur l'Espace économique européen, d'un pays lié par une convention d'établissement avec la France, du Maroc ou de la Tunisie ;
― inscrit au tableau de l'ordre des pharmaciens, cette dernière condition étant notamment subordonnée à la réalisation des deux premières.
Ces conditions sont cumulatives. Les pharmaciens titulaires d'un diplôme obtenu en France sont dispensés de la condition de nationalité.
Les pharmaciens, quelle que soit leur nationalité, titulaires de diplômes obtenus hors Union européenne ou Espace économique européen peuvent être recrutés par les établissements publics de santé sous un statut d'associé. Ils ne sont pas de plein exercice et ne participent à l'activité du service hospitalier que sous la responsabilité directe du responsable de la structure ou de l'un de ses collaborateurs ; ils peuvent exécuter des actes pharmaceutiques de pratique courante et sont associés à la permanence pharmaceutique (art. R. 6152-538 et R. 6152-632 du code de la santé publique).


II.-Procédure d'autorisation d'exercice


Par dérogation, conformément aux dispositions de l'article L. 4221-12 du code de la santé publique, le ministre chargé de la santé peut, après avis du Conseil supérieur de la pharmacie, autoriser individuellement à exercer des pharmaciens titulaires d'un diplôme permettant l'exercice de la profession dans le pays d'obtention de ce diplôme. Ils doivent avoir satisfait à des épreuves anonymes de vérification des connaissances organisées, le cas échéant, par spécialité et justifier d'un niveau suffisant de maîtrise de la langue française.
Les pharmaciens, lauréats des épreuves, doivent en outre justifier, avant le passage devant le Conseil supérieur de la pharmacie, de fonctions hospitalières accomplies dans une structure ou organisme agréé pour la formation des internes. Les dispositions pérennes issues du code de la santé publique et les dispositions transitoires applicables jusqu'au 31 décembre 2011 prévoient que les lauréats doivent justifier de trois ans de fonctions hospitalières. La loi du 1er février 2012 a instauré une nouvelle épreuve de vérification des connaissances et a limité à un an la durée des fonctions hospitalières requises pour les lauréats de cette nouvelle épreuve. Les fonctions hospitalières sont effectuées sous le statut d'assistant associé ou d'attaché associé.
Les fonctions exercées avant la réussite aux épreuves sous certains statuts fixés par décret peuvent être prises en compte après avis du Conseil supérieur de la pharmacie.
Toutes les informations concernant le déroulement de ces procédures figurent sur le site Internet du Centre national de gestion : www. cng. sante. fr (rubrique " Concours et examens, procédure d'autorisation d'exercice ”).
Le présent dossier sert à évaluer les fonctions hospitalières effectuées par les pharmaciens dans le cadre de cette procédure. Cette évaluation est à réaliser chaque semestre par le responsable de la structure d'exercice du candidat. L'ensemble des évaluations est porté au dossier du candidat lorsqu'il sollicite, devant le Conseil supérieur de la pharmacie, l'autorisation de plein exercice de la profession en France. »