A N N E X E 1
MÉTHODE 3CL-DPE v1.3
Sommaire
1. La méthode conventionnelle
2. Expression du besoin de chauffage
3. Calcul des déperditions de l'enveloppe GV
3.1. Détermination du coefficient de réduction des déperditions b
3.2. Calcul des U des parois opaques
3.2.1. Calcul des Umur
3.2.1.1. Schéma du calcul de Umur
3.2.1.2. Calcul des Umur0
3.2.2. Calcul des Uplancher bas (Upb)
3.2.2.1. Schéma du calcul de Upb
3.2.2.2. Calcul des Upb0
3.2.3. Calcul des Uplancher haut (Uph)
3.2.3.1. Schéma du calcul de Uph
3.2.3.2. Calcul des Uph0
3.3. Calcul des U des parois vitrées et des portes
3.3.1. Caractérisation des baies et des portes
3.3.1.1. Détermination de la performance du vitrage Ug
3.3.1.2. Coefficients Uw des fenêtres/portes-fenêtres
3.3.1.3. Coefficients Ujn des fenêtres/portes-fenêtres
3.3.1.4. Coefficients U des portes
3.4. Calcul des déperditions par les ponts thermiques
3.4.1. Plancher bas/mur
3.4.2. Plancher intermédiaire lourd/mur
3.4.3. Plancher haut lourd/mur
3.4.4. Refend/mur
3.4.5. Menuiserie/mur
3.5. Calcul des déperditions par renouvellement d'air
4. Détermination des sollicitations environnementales
4.1. Calcul de F
4.2. Détermination de la surface Sud équivalente
4.2.1. Détermination du coefficient d'orientation et du facteur solaire
4.2.2. Détermination du facteur d'ensoleillement
4.2.2.1. Masques proches
4.2.2.1.1. Baie en fond de balcon ou fond et flanc de loggias
4.2.2.1.2. Baie sous un balcon ou auvent
4.2.2.1.3. Baie masquée par une paroi latérale au Sud
4.2.2.2. Masques lointains
4.2.2.2.1. Obstacle d'environnement homogène
4.2.2.2.2. Obstacle d'environnement non homogène
5. Détermination de l'inertie
5.1. Plancher haut lourd
5.2. Plancher bas lourd
5.3. Paroi verticale lourde
6. Calcul du facteur d'intermittence INT
7. Calcul de la consommation de chauffage (Cch)
7.1. Installation de chauffage
7.2. Installation de chauffage avec chauffage solaire
7.3. Installation de chauffage avec insert ou poêle bois en appoint
7.4. Installation de chauffage par insert, poêle bois (ou biomasse) avec un chauffage électrique dans la salle de bains
7.5. Installation de chauffage avec en appoint un insert ou poêle bois et un chauffage électrique dans la salle de bains (différent du chauffage principal)
7.6. Installation de chauffage avec chaudière gaz ou fioul en relève d'une chaudière bois
7.7. Installation de chauffage avec chauffage solaire et insert ou poêle bois en appoint
7.8. Installation de chauffage avec chaudière en relève de PAC
7.9. Installation de chauffage avec chaudière en relève de PAC avec insert ou poêle bois en appoint
7.10. Installation de chauffage collectif avec base + appoint
7.10.1. Cas général
7.10.2. Convecteurs bi-jonction
7.11. Chauffage avec plusieurs installations différentes et indépendantes et/ou plusieurs installations différentes et indépendantes couplées
8. Rendement de distribution, d'émission et de régulation de chauffage
8.1. Rendement d'émission
8.2. Rendement de distribution
8.3. Rendement de régulation
9. Rendement de génération des générateurs autres qu'à combustion
9.1. Rendement des générateurs à effet joule direct et des réseaux de chaleur
9.2. COP des PAC installées
9.3. COP des PAC neuves recommandées
10. Rendement de génération des générateurs à combustion
10.1. Profil de charge des générateurs
10.1.1. Profil de charge conventionnel
10.1.2. Présence de un ou plusieurs générateurs à combustion indépendants
10.1.3. Cascade de deux générateurs à combustion
10.1.3.1. Cascade avec priorité
10.1.3.2. Cascade sans priorité (même contribution au taux de charge)
10.1.3.3. Pondération et contribution de chaque générateur
10.2. Pertes au point de fonctionnement
10.2.1. Chaudières basse température et à condensation
10.2.2. Chaudières standard ou classiques
10.2.3. Générateurs d'air chaud
10.2.4. Radiateurs à gaz
10.2.5. Chaudières bois
10.3. Valeurs par défaut des caractéristiques des chaudières
10.3.1. Chaudières gaz
10.3.2. Chaudières fioul
10.3.3. Calcul des puissances Pn des générateurs à combustion individuels
10.4. Puissances moyennes fournies et consommées
10.5. Rendement conventionnel annuel moyen de génération de chauffage
11. Expression du besoin d'ECS (Becs)
11.1. Surface habitable ≤ 27 m²
11.1.1. Maison ou appartement
11.1.2. Immeuble de N appartements
11.2. Surface habitable > 27 m²
11.2.1. Maison ou appartement
11.2.2. Immeuble de N appartements
12. Calcul de la consommation d'ECS
12.1. Un seul système d'ECS avec solaire
12.2. Deux systèmes d'ECS dans une maison ou un appartement
13. Rendement de distribution de l'ECS
13.1. Installation individuelle
13.2. Installation collective
14. Rendement de stockage de l'ECS
14.1. Pertes de stockage des ballons d'accumulation
14.2. Pertes des ballons électriques
14.3. Rendement de stockage
15. Rendement de génération d'ECS
15.1. Générateurs à combustion
15.1.1. Production d'ECS seule par chaudière gaz, fioul ou chauffe-eau gaz
15.1.2. Production par chaudière gaz, fioul ou bois
15.1.3. Accumulateur gaz
15.1.4. Chauffe-bain au gaz à production instantanée
15.2. Chauffe-eau thermodynamique à accumulation
15.3. Réseau de chaleur
16. Expression des consommations de refroidissement
16.1. Cas des maisons
16.2. Cas des immeubles
17. Prise en compte de la production d'énergie
18. Traitement de configurations particulières
18.1. DPE à l'immeuble équipé de plusieurs systèmes de chauffage ou d'ECS
18.2. Comptage sur les installations collectives en l'absence de DPE à l'immeuble
19. Détermination des abonnements d'électricité
19.1. Evaluation de la puissance souscrite Ps
19.2. Tarif des énergies
20. Annexes
20.1. Fecs pour une maison avec ECS solaire seule
20.2. Fecs pour une maison avec chauffage et ECS solaires
20.3. Fch pour une maison avec chauffage solaire seul
20.4. Fecs pour un immeuble avec ECS solaire seule
1. La méthode conventionnelle
Le DPE a pour principal objectif d'informer sur la performance énergétique des bâtiments. Cette information communiquée doit ensuite permettre de comparer objectivement les différents bâtiments entre eux.
Si nous prenons le cas d'une maison individuelle occupée par une famille de 3 personnes, la consommation de cette même maison ne sera pas la même si elle est occupée par une famille de 5 personnes. De plus, selon que l'hiver aura été rigoureux ou non, que la famille se chauffe à 20 °C ou 22 °C, les consommations du même bâtiment peuvent significativement fluctuées. Il est dès lors nécessaire dans l'établissement de ce diagnostic de s'affranchir du comportement des occupants afin d'avoir une information sur la qualité énergétique du bâtiment. C'est la raison pour laquelle l'établissement du DPE se fait principalement par une méthode de calcul des consommations conventionnelles qui s'appuie sur une utilisation standardisée du bâtiment pour des conditions climatiques moyennes du lieu.
Les principaux critères caractérisant la méthode conventionnelle sont les suivants :
― en présence d'un système de chauffage dans le bâtiment autre que les équipements mobiles et les cheminées à foyer ouvert, toute la surface habitable du logement est considérée chauffée en permanence pendant la période de chauffe ;
― les besoins de chauffage sont calculés sur la base de degrés heures moyens sur 30 ans par département. Les degrés heures sont égaux à la somme, pour toutes les heures de la saison de chauffage pendant laquelle la température extérieure est inférieure à 18 °C, de la différence entre 18 °C et la température extérieure. Ils prennent en compte une inoccupation d'une semaine par an pendant la période de chauffe ainsi qu'un réduit des températures à 16 °C pendant la nuit de 22 heures à 6 heures ;
― aux 18 °C assurés par l'installation de chauffage, les apports internes (occupation, équipements électriques, éclairage, etc.) sont pris en compte à travers une contribution forfaitaire de 1 °C permettant ainsi d'atteindre la consigne de 19 °C ;
― le besoin d'ECS est forfaitisé selon la surface habitable du bâtiment et le département.
Ces caractéristiques du calcul conventionnel peuvent être responsables de différences importantes entre les consommations réelles facturées et celles calculées avec la méthode conventionnelle. En effet, tout écart entre les hypothèses du calcul conventionnel et le scénario réel d'utilisation du bâtiment entraîne des différences au niveau des consommations. De plus, certaines caractéristiques impactant les consommations du bâtiment ne sont connues que de façon limitée (par exemple : les rendements des chaudières qui dépendent de leur dimensionnement et de leur entretien, la qualité de mise en œuvre du bâtiment, le renouvellement d'air dû à la ventilation, etc.).
2. Expression du besoin de chauffage
BV = GV × (1 ― F)
BV : besoins annuels de chauffage d'un logement par degré d'écart entre l'intérieur et l'extérieur durant la période de chauffage. Son calcul se fait à partir du coefficient GV en tenant compte des apports de chaleur dus à l'occupation et au rayonnement solaire. Il est exprimé en watts par kelvin (W/K).
F est la fraction des besoins de chauffage couverts par les apports gratuits.
3. Calcul des déperditions de l'enveloppe GV
Données d'entrée :
Coefficient de transmission thermique : U (W/m².K)
Surface des parois i (murs, plafonds, planchers, baies, portes) : Si (m²)
GV = DPmurs + DPplafonds + DPplanchers + DPbaies + DPportes + PT + DR
DPmurs = b1 × Smur1 × Umur1 + b2 × Smur2 × Umur2 + b3 × Smur3 × Umur3 +...
DPplafonds = b1 × Splafond1 × Uplafond1 + b2 × Splafond2 × Uplafond2 + b3 × Splafond3 × Uplafond3 +...
DPplanchers = b1 × Splancher1 × Uplancher1 + b2 × Splancher2 × Uplancher2 + b3 × Splancher3 × Uplancher3 +...
DPbaies = b1 × Sbaie1 × Ubaie1 + b2 × Sbaie2 × Ubaie2 + b3 × Sbaie3 × Ubaie3 +...
DPportes = b1 × Sporte1 × Uporte1 + b2 × Sporte2 × Uporte2 + b3 × Sporte3 × Uporte3 +...
Avec :
GV : somme des déperditions par les parois et par le renouvellement d'air par degré d'écart entre l'intérieur et l'extérieur (W/K)
DPi : déperdition par la paroi i par degré d'écart entre l'intérieur et l'extérieur (W/K)
Si : surface de la paroi déperditive i (m²)
Ui : coefficient de transmission thermique surfacique de la paroi i par degré d'écart entre l'intérieur et l'extérieur (W/m².K)
PT : déperdition par les ponts thermiques par degré d'écart entre l'intérieur et l'extérieur (W/K)
DR : déperditions par le renouvellement d'air par degré d'écart entre l'intérieur et l'extérieur (W/K)
bi : coefficient de réduction des déperditions pour la paroi i.
Dans le calcul des déperditions, les parois à considérer sont celles séparant le volume chauffé et/ou habitable de l'extérieur, d'un espace non chauffé ou du sol.
Les parties de bâtiments d'habitation non habitables telles que les garages ne sont pas prises en compte dans le calcul, à l'exception des vérandas chauffées.
On appelle baie l'ensemble vitrage-menuiserie (ouvrant + dormant) des fenêtres, portes-fenêtres et vérandas.
La surface des fenêtres, portes et portes-fenêtres ainsi que toute autre menuiserie intègre les dormants.
Les dimensions intérieures des parois doivent être prises pour le calcul des déperditions.
Les caractérisations des parois peuvent être faites selon les méthodes données par les règles TH-U.
3.1. Détermination du coefficient
de réduction des déperditions b
Données d'entrée :
Surface des parois séparant l'espace non chauffé des espaces chauffés : Aiu (m²)
Surface des parois séparant le local non chauffé de l'extérieur, du sol ou d'un autre local non chauffé : Aue (m²)
Type de local non chauffé (garage, comble, circulation...)
Etat d'isolation des parois donnant sur le local non chauffé (isolées, non isolées)
Etat d'isolation des parois du local non chauffé (isolées, non isolées)
Pour une paroi donnant sur l'extérieur, b = 1.
Pour une paroi enterrée ou un plancher sur vide sanitaire, b = 0,8.
Pour les bâtiments adjacents autres que d'habitation, b = 0,2.
Dans les autres cas, la méthode de calcul qui suit doit être utilisée.
Des valeurs du coefficient b sont données dans les tableaux suivants et ceci en fonction du rapport des surfaces Aiu/Aue et du coefficient surfacique équivalent UV,ue. Dans le cas de locaux non chauffés non accessibles, une estimation des surfaces Aiu et Aue peut être réalisée. Elle devra être signifiée et justifiée dans le rapport.
Dans les tableaux suivants :
― la surface Aue des vérandas non chauffées doit être considérée comme non isolée ;
― lnc désigne un local non chauffé ;
― lc désigne le local chauffé.
La surface Aue intègre toutes les parois du local non chauffé qui donnent sur l'extérieur, qui sont enterrées ou qui donnent sur un autre local non chauffé.
Les parois d'un local sont considérées comme isolées ou enterrées si elles le sont à plus de 50 %.
Les parois en double vitrage et les portes seront considérées comme non isolées pour le calcul de b. Les parois en triple vitrage seront considérées comme isolées.
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
3.2. Calcul des U des parois opaques
Données d'entrée :
Mur :
Type de matériau (béton, pierre, inconnu...).
Etat d'isolation (isolé, non isolé, inconnu).
Niveau d'isolation (épaisseur, résistance, année d'isolation, année de construction).
Type de chauffage (effet joule, autres).
Coefficient de transmission thermique U.
Plancher bas :
Type de plancher bas (terre-plein, vide sanitaire...).
Configuration de plancher (poutrelles hourdis, dalle béton...).
Etat d'isolation (isolé, non isolé, inconnu).
Niveau d'isolation (épaisseur, résistance, année d'isolation, année de construction)
Type de chauffage (effet joule, autres)
Surface de plancher sur terre-plein.
Périmètre de plancher sur terre-plein.
Coefficient de transmission thermique U.
Plancher haut :
Type de plancher haut (terrasse, combles perdus...).
Configuration de plancher (poutrelles hourdis, dalle béton...).
Etat d'isolation (isolé, non isolé, inconnu).
Niveau d'isolation (épaisseur, résistance, année d'isolation, année de construction).
Type de chauffage (effet joule, autres).
Coefficient de transmission thermique U.
3.2.1. Calcul des Umur
3.2.1.1. Schéma du calcul de Umur
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
3.2.1.2. Calcul des Umur0
ÉPAISSEUR (EN CM) |
20 et ― |
25 |
30 |
35 |
40 |
45 |
50 |
55 |
60 |
65 |
70 |
75 |
80 |
|
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Murs en pierre de taille et moellons (granit, gneiss, porphyres, pierres calcaires, grès, meulières, schistes, pierres volcaniques) |
Murs constitués d'un seul matériau/inconnu |
3,2 |
2,85 |
2,65 |
2,45 |
2,3 |
2,15 |
2,05 |
1,90 |
1,80 |
1,75 |
1,65 |
1,55 |
1,50 |
|
Murs avec remplissage tout venant |
― |
― |
― |
― |
― |
― |
1,90 |
1,75 |
1,60 |
1,50 |
1,45 |
1,30 |
1,25 |
ÉPAISSEUR CONNUE (EN CM) |
40 et ― |
45 |
50 |
55 |
60 |
65 |
70 |
75 |
80 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Murs en pisé ou béton de terre stabilisé (à partir d'argile crue) |
1,75 |
1,65 |
1,55 |
1,45 |
1,35 |
1,25 |
1,2 |
1,15 |
1,1 |
ÉPAISSEUR CONNUE (EN CM) |
8 et ― |
10 |
13 |
18 |
24 |
32 |
|
---|---|---|---|---|---|---|---|
Murs en pans de bois |
Sans remplissage tout venant |
3 |
2,7 |
2,35 |
1,98 |
1,65 |
1,35 |
|
Avec remplissage tout venant |
1,7 |
ÉPAISSEUR CONNUE (EN CM) |
10 et ― |
15 |
20 |
25 |
---|---|---|---|---|
Murs bois (rondins) |
1,6 |
1,2 |
0,95 |
0,8 |
ÉPAISSEUR CONNUE (EN CM) |
9 et ― |
12 |
15 |
19 |
23 |
28 |
34 |
45 |
55 |
60 |
70 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Murs en briques pleines simples |
3,9 |
3,45 |
3,05 |
2,75 |
2,5 |
2,25 |
2 |
1,65 |
1,45 |
1,35 |
1,2 |
ÉPAISSEUR CONNUE (EN CM) |
20 et ― |
25 |
30 |
35 |
45 |
50 |
60 |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Murs en briques pleines doubles avec lame d'air |
2 |
1,85 |
1,65 |
1,55 |
1,35 |
1,25 |
1,2 |
ÉPAISSEUR CONNUE (EN CM) |
15 et ― |
18 |
20 |
23 |
25 |
28 |
33 |
38 |
43 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Murs en briques creuses |
2,15 |
2,05 |
2 |
1,85 |
1,7 |
1,68 |
1,65 |
1,55 |
1,4 |
ÉPAISSEUR CONNUE |
20 et ― |
23 |
25 |
28 |
30 |
33 |
35 |
38 |
40 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Murs en blocs de béton pleins |
2,9 |
2,75 |
2,6 |
2,5 |
2,4 |
2,3 |
2,2 |
2,1 |
2,05 |
ÉPAISSEUR CONNUE (EN CM) |
20 et ― |
23 |
25 |
---|---|---|---|
Murs en blocs de béton creux |
2,8 |
2,65 |
2,3 |
ÉPAISSEUR CONNUE (EN CM) |
20 et ― |
22,5 |
25 |
28 |
30 |
35 |
40 |
45 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Murs en béton banché |
2,9 |
2,75 |
2,65 |
2,5 |
2,4 |
2,2 |
2,05 |
1,9 |
Murs en béton de mâchefer |
2,75 |
2,5 |
2,4 |
2,25 |
2,15 |
1,95 |
1,8 |
― |
ÉPAISSEUR CONNUE (EN CM) |
30 |
37,5 |
---|---|---|
Monomur terre cuite |
0,47 |
0,40 |
ÉPAISSEUR CONNUE (EN CM) |
5 |
7 |
10 |
15 |
20 |
25 |
27,5 |
30 |
32,5 |
37,5 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Béton cellulaire |
2,12 |
1,72 |
1,03 |
0,72 |
0,55 |
0,46 |
0,42 |
0,39 |
0,35 |
0,32 |
3.2.2. Calcul des Uplancher bas (Upb)
3.2.2.1. Schéma du calcul de Upb
Si le plancher donne sur vide sanitaire ou local non chauffé :
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
2S/P (m) |
3 |
4 |
5 |
6 |
7 |
8 |
9 |
10 |
11 |
12 |
13 |
14 |
15 |
16 |
17 |
18 |
19 |
20 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Upb (W/m².K) |
0,37 |
0,35 |
0,34 |
0,32 |
0,31 |
0,3 |
0,29 |
0,28 |
0,27 |
0,27 |
0,26 |
0,25 |
0,24 |
0,24 |
0,23 |
0,23 |
0,22 |
0,22 |
2S/P (m) |
3 |
4 |
5 |
6 |
7 |
8 |
9 |
10 |
11 |
12 |
13 |
14 |
15 |
16 |
17 |
18 |
19 |
20 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Upb (W/m².K) |
0,27 |
0,26 |
0,25 |
0,25 |
0,24 |
0,23 |
0,22 |
0,21 |
0,20 |
0,19 |
0,18 |
0,18 |
0,17 |
0,17 |
0,16 |
0,16 |
0,15 |
0,15 |
3.2.2.2. Calcul des Upb0
Upb0 est le coefficient de transmission thermique du plancher bas non isolé (W/m².K).
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Plancher à entrevous isolant Upb0 = 0,45 W/m².K.
Pour les planchers bas non répertoriés, saisir directement les coefficients de transmission thermique U. Les données des règles TH-U peuvent être utilisées.
Pour les calculs de déperdition : Upb = Min(Upb ; 2).
3.2.3. Calcul des Uplancher haut (Uph)
3.2.3.1. Schéma du calcul de Uph
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
3.2.3.2. Calcul des Uph0
Uph0 est le coefficient de transmission thermique du plancher haut non isolé (W/m².K).
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Combles aménagés sous rampant : Uph0 = 2,5 W/m².K.
Toiture en chaume : Uph0 = 0,24 W/m².K.
Plafond en plaque de plâtre : Uph0 = 2,5 W/m².K.
Pour les calculs de déperdition : Uph = Min(Uph ; 2).
Pour les murs, plafonds, planchers non répertoriés, saisir directement les coefficients de transmission thermique U. Les données des règles TH-U peuvent être utilisées.
3.3. Calcul des U des parois vitrées et des portes
Données d'entrée :
Parois vitrées :
Inclinaison des parois (verticales, horizontales)
Type de vitrage (simple vitrage, double vitrage, survitrage...)
Niveau d'isolation (épaisseur lame d'air, isolation renforcée, remplissage gaz rare...)
Nature de menuiserie (bois, PVC, métal...)
Type de menuiserie (battante, coulissante)
Type de baie (fenêtre, porte-fenêtre sans soubassement, porte-fenêtre avec soubassement)
Type de volet (jalousie, volet roulant...)
Porte :
Type de porte (opaque pleine, avec 30 % de vitrage...)
Type de menuiserie (bois, PVC...)
Les parois vitrées des vérandas chauffées seront traitées comme des portes-fenêtres.
Les parois en brique de verre sont traitées comme des parois vitrées avec :
― brique de verre pleine : Uw = 3,5 W/m².K ;
― brique de verre creuse : Uw = 2,6 W/m².K.
Les parois en polycarbonate sont traitées comme des parois vitrées avec : Uw = 3 W/m.K.
3.3.1. Caractérisation des baies et des portes
Définition de l'inclinaison des baies pour le calcul des U :
― paroi verticale = angle par rapport à l'horizontal ≥ 75°.
― paroi horizontale = angle par rapport à l'horizontal < 75° ;
Si le coefficient U des fenêtres est connu : saisir Uw et caractériser les occultations pour déterminer Ujn.
Si Uw est inconnu, alors suivre la démarche suivante :
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Avec :
Ug : coefficient de transmission thermique du vitrage.
Uw : coefficient de transmission thermique de la fenêtre ou de la porte-fenêtre (vitrage + menuiserie).
Ujn : coefficient de transmission thermique de la fenêtre ou de la porte-fenêtre avec les protections solaires (vitrage + menuiserie + volet).
3.3.1.1. Détermination de la performance du vitrage Ug
Simple vitrage et survitrage
Pour un simple vitrage vertical ou horizontal, quelle que soit l'épaisseur du verre, prendre Ug = 5,8 W/(m².K).
Le Ug d'un survitrage est déterminé en apportant une majoration de 0,1 W/(m².K) au Ug du double vitrage rempli à l'air sec ayant la même épaisseur de lame d'air. Les épaisseurs des lames d'air pour le survitrage sont plafonnées à 20 mm : toute lame d'air d'un survitrage d'épaisseur supérieure à 20 mm sera traitée dans les calculs comme une lame d'air de 20 mm d'épaisseur.
Dans la suite, les caractéristiques du survitrage seront les mêmes que celles du double vitrage équivalent.
Double vitrage vertical
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Attention : si la valeur de l'épaisseur de la lame d'air n'est pas dans le tableau présenté, prendre la valeur directement inférieure qui s'y trouve.
Double vitrage horizontal
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Attention : si la valeur de l'épaisseur de la lame d'air n'est pas dans le tableau présenté, prendre la valeur directement inférieure qui s'y trouve.
Triple vitrage vertical
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Triple vitrage horizontal
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Attention : si la valeur de l'épaisseur de la lame d'air n'est pas dans le tableau présenté, prendre la valeur directement inférieure qui s'y trouve.
Si un triple vitrage a des épaisseurs de lame d'air différentes, considérer que c'est un triple vitrage dont l'épaisseur de chaque lame d'air est la moitié de l'épaisseur totale des deux lames d'air.
Exemple : pour un triple vitrage 4/10/4/12/4, considérer que c'est un 4/10/4/10/4.
3.3.1.2. Coefficients Uw des fenêtres/portes-fenêtres
Si le Ug n'est pas dans le tableau, prendre :
― la plus petite valeur du tableau si elle est inférieure à celle-ci ;
― la valeur directement inférieure ; sinon
― pour les Ug compris entre 3,4 et 4, faire une extrapolation à partir de la valeur de Uw pour Ug = 3,3. La valeur est arrondie au dixième le plus proche.
Les baies sans ouverture possible (ni battantes ni coulissantes) seront traitées comme coulissantes dans toute la suite.
Les baies oscillantes seront traitées comme des baies battantes.
Menuiserie métallique à rupture de pont thermique
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Menuiserie métallique sans rupture de pont thermique
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Menuiserie PVC
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Menuiserie bois ou bois métal :
Dans tous les calculs, les menuiseries mixtes bois métal prendront les caractéristiques du bois.
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Traitement des doubles-fenêtres :
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Uw1 et Uw2 sont les coefficients de transmission thermique respectivement des fenêtres 1 et 2 (W/m².K).
3.3.1.3. Coefficients Ujn des fenêtres/portes-fenêtres
La présence de volets aux fenêtres et portes-fenêtres leur apporte un supplément d'isolation avec une résistance additionnelle ΔR.
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Pour les valeurs de Uw non mentionnées dans le tableau, prendre la valeur directement inférieure apparaissant dans le tableau précédent (par exemple, si Uw = 4,1 W/[m².K] prendre pour le calcul de Ujn : Uw = 4W/[m².K]).
3.3.1.4. Coefficients U des portes
Le coefficient U des portes est connu : saisir Uporte.
Sinon, Uporte = :
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Attention : une porte vitrée avec plus de 60 % de vitrage est considérée comme une porte-fenêtre avec soubassement.
3.4. Calcul des déperditions par les ponts thermiques
Données d'entrée :
Type d'isolation (ITI, ITE, ITR)
Nombre de niveaux
Nombre d'appartements
Retour d'isolation autour des menuiseries (avec ou sans)
Position des menuiseries (nu extérieur, nu intérieur, tunnel)
Largeur des dormants
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Avec :
lpb_i/m_j : longueur du pont thermique plancher bas i mur j.
lpi_i/m_j : longueur du pont thermique plancher intermédiaire i mur j.
lph_i/m_j : longueur du pont thermique plancher haut i mur j.
lrf_i/m_j : longueur du pont thermique refend i mur j. Pour un DPE réalisé à l'immeuble, lrf_i/m_j = 2.hsp.(N-niv) avec hsp : hauteur moyenne sous plafond, N : nombre d'appartements et niv : nombre de niveaux. En présence de plusieurs types de mur, le linéaire du pont thermique refend/mur est supposé réparti au prorata de la surface de chaque mur. Les combles aménagés sont considérés comme des demi-niveaux.
lmen-i/m_j : longueur du pont thermique menuiserie i mur j.
ITI, ITE, ITR respectivement isolation thermique intérieure, extérieure et répartie.
Les ponts thermiques sont négligés au niveau des liaisons avec des parois en structure bois.
Si le coefficient de transmission thermique U d'une paroi est défini à partir de l'année de construction :
― si le bâtiment date d'avant 1975, la paroi est considérée comme non isolée ;
― si le bâtiment date de 1975 ou d'après cette date, la paroi est considérée comme isolée.
3.4.1. Plancher bas/mur
kpb_i/m_j : valeur du pont thermique de la liaison plancher bas i/mur j.
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Kpb_i/m_j |
PLANCHER BAS |
Non isolé |
ITI |
ITE |
ITE + ITI |
|||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
|
Non isolé |
0,39 |
0,47 |
0,80 |
0,47 |
|||||||||||||
|
ITI |
0,31 |
0,08 |
0,71 |
0,08 |
|||||||||||||
|
ITE |
0,49 |
0,48 |
0,64 |
0,48 |
|||||||||||||
Mur |
ITR |
0,35 |
0,1 |
0,45 |
0,1 |
|||||||||||||
|
ITI + ITE |
0,31 |
0,08 |
0,45 |
0,08 |
|||||||||||||
|
ITI + ITR |
0,31 |
0,08 |
0,45 |
0,08 |
|||||||||||||
|
ITE + ITR |
0,35 |
0,1 |
0,45 |
0,1 |
3.4.2. Plancher intermédiaire lourd/mur
kpi_i/m_j : valeur du pont thermique de la liaison plancher intermédiaire i/mur j.
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Kpi_i/m_j |
||
---|---|---|
|
Non isolé |
0,86 |
|
ITI |
0,92 |
|
ITE |
0,13 |
Mur |
ITR |
0,24 |
|
ITI + ITE |
0,13 |
|
ITI + ITR |
0,24 |
|
ITE + ITR |
0,13 |
3.4.3. Plancher haut lourd/mur
kph_i/m_j : valeur du pont thermique de la liaison plancher haut lourd i/mur j.
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Kpb_i/m_j |
PLANCHER HAUT LOURD |
Non isolé |
ITI |
ITE |
ITI + ITE |
---|---|---|---|---|---|
|
Non isolé |
0,3 |
0,83 |
0,4 |
0,4 |
|
ITI |
0,27 |
0,07 |
0,75 |
0,07 |
Mur |
ITE |
0,55 |
0,76 |
0,58 |
0,58 |
|
ITR |
0,4 |
0,3 |
0,48 |
0,3 |
|
ITI + ITE |
0,27 |
0,07 |
0,58 |
0,07 |
|
ITI + ITR |
0,27 |
0,07 |
0,48 |
0,07 |
|
ITE + ITR |
0,4 |
0,3 |
0,48 |
0,3 |
3.4.4. Refend/mur
krf_i/m_i : valeur du pont thermique de la liaison Refend i/Mur j.
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Krf_i/m_i |
||
---|---|---|
|
Non isolé |
0,73 |
|
ITI |
0,82 |
|
ITE |
0,13 |
Mur extérieur |
ITR |
0,2 |
|
ITI + ITE |
0,13 |
|
ITI + ITR |
0,2 |
|
ITE + ITR |
0,13 |
3.4.5. Menuiserie/mur
kmen_i/m_j : valeur du pont thermique de la liaison menuiserie i/mur j.
On entend par menuiserie les fenêtres, portes ou portes-fenêtres.
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Lp est la largeur approximative du dormant de la menuiserie (cm).
Pour les murs, s'il n'est pas possible de distinguer le type d'isolation (ITI, ITE...), prendre par défaut ITI.
Ces valeurs de pont thermique sont valables pour les tableaux, les linteaux et les appuis de la menuiserie.
Les ponts thermiques au niveau des seuils de porte et des parois en brique de verre ne sont pas pris en compte.
3.5. Calcul des déperditions par renouvellement d'air
Données d'entrée :
Menuiseries avec ou sans joint
Cheminée avec ou sans trappe
Surface des parois déperditives hors plancher bas
Surface habitable
Type de ventilation
DR = Hvent + Hperm
DR : déperditions par le renouvellement d'air par degré d'écart entre l'intérieur et l'extérieur (W/K).
Hvent : déperdition thermique par le renouvellement d'air dû au système de ventilation par degré d'écart entre l'intérieur et l'extérieur (W/K).
Hperm : déperdition thermique par le renouvellement d'air dû à la perméabilité à l'air du bâtiment par degré d'écart entre l'intérieur et l'extérieur (W/K).
Hvent = 0,34 × Q var epconv × Sh
Qvarepconv : débit d'air extrait conventionnel par unité de surface habitable (m³/h/m²).
Sh : surface habitable (m²).
Hperm = 0,34 × Qvinf
Qvinf : débit d'air dû aux infiltrations (provoquées par le tirage thermique, l'impact du vent étant négligé) (m³/h).
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
ZONE CLIMATIQUE |
Textmoy |
|
---|---|---|
H1 |
6,58 |
|
H2 |
8,08 |
|
H3 |
9,65 |
Q4Pa = Q4Paenv + 0,45 × Smeaconv × Sh
Q4Pa : perméabilité sous 4 Pa de la zone (m³/h).
Q4Paenv : perméabilité de l'enveloppe (m³/h).
Q4Paenv = Q4Pa conv/m2 × Sdep
Q4Paconv/m2 en m³/h/m² sous 4 Pa valeurs conventionnelles |
||
---|---|---|
Fenêtres sans joint et cheminée sans trappe de fermeture |
Fenêtres sans joint ou cheminées sans trappe de fermeture |
Autres cas |
2,5 |
2,0 |
1,7 |
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Pour une ventilation double flux avec échangeur :
Hvent = 0,136 × Q var epconv × Sh
Puits climatique (canadien ou provençal) :
Hvent = 0,2142 × Q var epconv × Sh
4. Détermination des sollicitations environnementales
4.1. Calcul de F
Données d'entrée :
Département.
Altitude (m).
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
X = As + Ai
GV × DHcor
DHcor : degrés heures de chauffage corrigé (°Ch).
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
alt : altitude du site où est situé le logement (m).
C2, C3 : facteurs de correction de l'altitude et de la position par rapport à la mer.
Dhref : degrés heures de référence pendant la période de chauffage (°C).
Ai : apports internes dans le logement (Wh).
Ai = 4,17 × Sh × Nref
4,17 représente les apports internes dissipés dans le logement en W/m². Cette valeur correspondant à une énergie dissipée égale à 100 Wh/(jour.m²Shab) et est une valeur conventionnelle représentative du comportement et de l'équipement moyens des occupants de logements en France.
Sh : surface habitable du logement (m²).
Nref : nombre d'heures de la période de chauffage.
As : apports solaires (Wh).
Ai = 1 000 × E × Sse
DÉPARTEMENT |
ZONE hiver |
ZONE été |
E (kWh/m²) |
Nref (h) |
Pref (W/m²) |
Dhref/ 30 ans (°Ch) |
C2 |
C3 (h/m) |
TEXT_ base (°C) |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
01 Ain |
1 |
Ec |
392 |
4900 |
80 |
55000 |
340 |
1,5 |
― 10 |
02 Aisne |
1 |
Ea |
423,4 |
5800 |
73 |
67000 |
340 |
0 |
― 7 |
03 Allier |
1 |
Ec |
402,9 |
5100 |
79 |
55000 |
340 |
1,5 |
― 8 |
04 Alpes-de-Haute-Provence |
2 |
Ed |
541,2 |
4100 |
132 |
45000 |
340 |
1,5 |
― 8 |
05 Hautes-Alpes |
1 |
Ed |
546 |
4200 |
130 |
47000 |
340 |
1,5 |
― 10 |
06 Alpes-Maritimes |
3 |
Ed |
526,5 |
3900 |
135 |
31000 |
400 |
1,8 |
― 5 |
07 Ardèche |
2 |
Ed |
514,5 |
4900 |
105 |
53000 |
340 |
1,5 |
― 6 |
08 Ardennes |
1 |
Eb |
397,6 |
5600 |
71 |
64000 |
340 |
0 |
― 10 |
09 Ariège |
2 |
Ec |
484 |
4400 |
110 |
41000 |
340 |
1,5 |
― 5 |
10 Aube |
1 |
Eb |
407 |
5500 |
74 |
64000 |
340 |
0 |
― 10 |
11 Aude |
3 |
Ed |
460 |
4000 |
115 |
36000 |
400 |
1,8 |
― 5 |
12 Aveyron |
2 |
Ec |
418 |
4400 |
95 |
45000 |
340 |
1,5 |
― 8 |
13 Bouches-du-Rhône |
3 |
Ed |
528 |
4000 |
132 |
36000 |
400 |
1,8 |
― 5 |
14 Calvados |
1 |
Ea |
450,3 |
5700 |
79 |
61000 |
400 |
0 |
― 7 |
15 Cantal |
1 |
Ec |
435 |
5000 |
87 |
54000 |
340 |
1,5 |
― 8 |
16 Charente |
2 |
Ec |
435 |
5000 |
87 |
48000 |
340 |
0 |
― 5 |
17 Charente-Maritime |
2 |
Ec |
440 |
5000 |
88 |
48000 |
400 |
0 |
― 5 |
18 Cher |
2 |
Eb |
418,7 |
5300 |
79 |
58000 |
340 |
0 |
― 7 |
19 Corrèze |
1 |
Ec |
425 |
5000 |
85 |
48000 |
340 |
1,5 |
― 8 |
2A Corse-du-Sud |
3 |
Ed |
529,2 |
4200 |
126 |
34000 |
400 |
1,8 |
― 2 |
2B Haute-Corse |
3 |
Ed |
504 |
4000 |
126 |
32000 |
400 |
1,8 |
― 2 |
21 Côte-d'Or |
1 |
Ec |
357,7 |
4900 |
73 |
57000 |
340 |
1,5 |
― 10 |
22 Côtes-d'Armor |
2 |
Ea |
426,6 |
5400 |
79 |
51000 |
400 |
0 |
― 4 |
23 Creuse |
1 |
Ec |
436,8 |
5200 |
84 |
56000 |
340 |
1,5 |
― 8 |
24 Dordogne |
2 |
Ec |
435 |
5000 |
87 |
48000 |
340 |
0 |
― 5 |
25 Doubs |
1 |
Ec |
355 |
5000 |
71 |
57000 |
340 |
1,5 |
― 12 |
26 Drôme |
2 |
Ed |
528 |
4800 |
110 |
53000 |
340 |
1,5 |
― 6 |
27 Eure |
1 |
Ea |
390 |
5000 |
78 |
58000 |
400 |
0 |
― 7 |
28 Eure-et-Loir |
1 |
Eb |
436,8 |
5600 |
78 |
63000 |
340 |
0 |
― 7 |
29 Finistère |
2 |
Ea |
458,2 |
5800 |
79 |
55000 |
400 |
0 |
― 4 |
30 Gard |
3 |
Ed |
480 |
4000 |
120 |
36000 |
400 |
1,8 |
― 5 |
31 Haute-Garonne |
2 |
Ec |
441 |
4500 |
98 |
44000 |
340 |
1,5 |
― 5 |
32 Gers |
2 |
Ec |
441,6 |
4800 |
92 |
50000 |
340 |
0 |
― 5 |
33 Gironde |
2 |
Ec |
409,5 |
4500 |
91 |
41000 |
400 |
0 |
― 5 |
34 Hérault |
3 |
Ed |
471,5 |
4100 |
115 |
38000 |
400 |
1,8 |
― 5 |
35 Ille-et-Vilaine |
2 |
Ea |
418,7 |
5300 |
79 |
53000 |
400 |
0 |
― 5 |
36 Indre |
2 |
Eb |
445,2 |
5300 |
84 |
59000 |
340 |
0 |
― 7 |
37 Indre-et-Loire |
2 |
Eb |
450,5 |
5300 |
85 |
57000 |
340 |
0 |
― 7 |
38 Isère |
1 |
Ec |
480 |
4800 |
100 |
55000 |
340 |
1,5 |
― 10 |
39 Jura |
1 |
Ec |
362,6 |
4900 |
74 |
55000 |
340 |
1,5 |
― 10 |
40 Landes |
2 |
Ec |
413,6 |
4400 |
94 |
42000 |
400 |
0 |
― 5 |
41 Loir-et-Cher |
2 |
Eb |
442,8 |
5400 |
82 |
59000 |
340 |
0 |
― 7 |
42 Loire |
1 |
Ec |
406,7 |
4900 |
83 |
52000 |
340 |
1,5 |
― 10 |
43 Haute-Loire |
1 |
Ec |
460 |
5000 |
92 |
54000 |
340 |
1,5 |
― 8 |
44 Loire-Atlantique |
2 |
Eb |
401,8 |
4900 |
82 |
48000 |
400 |
0 |
― 5 |
45 Loiret |
1 |
Eb |
421,2 |
5400 |
78 |
61000 |
340 |
0 |
― 7 |
46 Lot |
2 |
Ec |
404,8 |
4600 |
88 |
45000 |
340 |
1,5 |
― 6 |
47 Lot-et-Garonne |
2 |
Ec |
435 |
5000 |
87 |
53000 |
340 |
0 |
― 5 |
48 Lozère |
2 |
Ed |
460 |
4600 |
100 |
48000 |
340 |
1,5 |
― 8 |
49 Maine-et-Loire |
2 |
Eb |
431,6 |
5200 |
83 |
55000 |
340 |
0 |
― 7 |
50 Manche |
2 |
Ea |
433,2 |
5700 |
76 |
56000 |
400 |
0 |
― 4 |
51 Marne |
1 |
Eb |
414,4 |
5600 |
74 |
65000 |
340 |
0 |
― 10 |
52 Haute-Marne |
1 |
Eb |
379,6 |
5200 |
73 |
59000 |
340 |
1,5 |
― 12 |
53 Mayenne |
2 |
Eb |
421,2 |
5200 |
81 |
56000 |
340 |
0 |
― 7 |
54 Meurthe-et-Moselle |
1 |
Eb |
400,2 |
5800 |
69 |
71000 |
340 |
0 |
― 15 |
55 Meuse |
1 |
Eb |
397,6 |
5600 |
71 |
68000 |
340 |
0 |
― 12 |
56 Morbihan |
2 |
Ea |
402,9 |
5100 |
79 |
48000 |
400 |
0 |
― 4 |
57 Moselle |
1 |
Eb |
386,4 |
5600 |
69 |
68000 |
340 |
0 |
― 15 |
58 Nièvre |
1 |
Eb |
395,2 |
5200 |
76 |
56000 |
340 |
1,5 |
― 10 |
59 Nord |
1 |
Ea |
379,5 |
5500 |
69 |
60000 |
400 |
0 |
― 9 |
60 Oise |
1 |
Ea |
427,5 |
5700 |
75 |
65000 |
340 |
0 |
― 7 |
61 Orne |
1 |
Ea |
442,4 |
5600 |
79 |
62000 |
340 |
0 |
― 7 |
62 Pas-de-Calais |
1 |
Ea |
379,5 |
5500 |
69 |
60000 |
400 |
0 |
― 9 |
63 Puy-de-Dôme |
1 |
Ec |
398,4 |
4800 |
83 |
50000 |
340 |
1,5 |
― 8 |
64 Pyrénées-Atlantiques |
2 |
Ec |
411,6 |
4200 |
98 |
35000 |
400 |
1,8 |
― 5 |
65 Hautes-Pyrénées |
2 |
Ec |
450,8 |
4600 |
98 |
43000 |
340 |
1,5 |
― 5 |
66 Pyrénées-Orientales |
3 |
Ed |
481 |
3700 |
130 |
30000 |
400 |
1,8 |
― 5 |
67 Bas-Rhin |
1 |
Eb |
343,2 |
5200 |
66 |
63000 |
340 |
1,5 |
― 15 |
68 Haut-Rhin |
1 |
Eb |
365,7 |
5300 |
69 |
64000 |
340 |
1,5 |
― 15 |
69 Rhône |
1 |
Ec |
392 |
4900 |
80 |
54000 |
340 |
1,5 |
― 10 |
70 Haute-Saône |
1 |
Eb |
376,3 |
5300 |
71 |
62000 |
340 |
1,5 |
― 12 |
71 Saône-et-Loire |
1 |
Ec |
384,8 |
5200 |
74 |
57000 |
340 |
1,5 |
― 10 |
72 Sarthe |
2 |
Eb |
434,6 |
5300 |
82 |
57000 |
340 |
0 |
― 7 |
73 Savoie |
1 |
Ec |
460 |
4600 |
100 |
55000 |
340 |
1,5 |
― 10 |
74 Haute-Savoie |
1 |
Ec |
392 |
4900 |
80 |
58000 |
340 |
1,5 |
― 10 |
75 Paris |
1 |
Eb |
336,6 |
5100 |
66 |
55000 |
340 |
0 |
― 5 |
76 Seine-Maritime |
1 |
Ea |
418 |
5500 |
76 |
58000 |
400 |
0 |
― 7 |
77 Seine-et-Marne |
1 |
Eb |
396 |
5500 |
72 |
62000 |
340 |
0 |
― 7 |
78 Yvelines |
1 |
Eb |
417,6 |
5800 |
72 |
66000 |
340 |
0 |
― 7 |
79 Deux-Sèvres |
2 |
Eb |
450,5 |
5300 |
85 |
56000 |
340 |
0 |
― 7 |
80 Somme |
1 |
Ea |
423,4 |
5800 |
73 |
64000 |
400 |
0 |
― 9 |
81 Tarn |
2 |
Ec |
440 |
4400 |
100 |
45000 |
340 |
1,5 |
― 5 |
82 Tarn-et-Garonne |
2 |
Ec |
432 |
4800 |
90 |
51000 |
340 |
0 |
― 5 |
83 Var |
3 |
Ed |
514,8 |
3900 |
132 |
31000 |
400 |
1,8 |
― 5 |
84 Vaucluse |
2 |
Ed |
579,6 |
4600 |
126 |
44000 |
340 |
1,5 |
― 6 |
85 Vendée |
2 |
Eb |
442 |
5200 |
85 |
50000 |
400 |
0 |
― 5 |
86 Vienne |
2 |
Eb |
455,8 |
5300 |
86 |
56000 |
340 |
0 |
― 7 |
87 Haute-Vienne |
1 |
Ec |
447,2 |
5200 |
86 |
54000 |
340 |
1,5 |
― 8 |
88 Vosges |
1 |
Eb |
376,3 |
5300 |
71 |
62000 |
340 |
1,5 |
― 15 |
89 Yonne |
1 |
Eb |
410,4 |
5400 |
76 |
62000 |
340 |
0 |
― 10 |
90 Territoire de Belfort |
1 |
Eb |
371 |
5300 |
70 |
63000 |
340 |
1,5 |
― 15 |
91 Essonne |
1 |
Eb |
396 |
5500 |
72 |
61000 |
340 |
0 |
― 7 |
92 Hauts-de-Seine |
1 |
Eb |
349,8 |
5300 |
66 |
58000 |
340 |
0 |
― 7 |
93 Seine-Saint-Denis |
1 |
Eb |
349,8 |
5300 |
66 |
58000 |
340 |
0 |
― 7 |
94 Val-de-Marne |
1 |
Eb |
349,8 |
5300 |
66 |
58000 |
340 |
0 |
― 7 |
95 Val-d'Oise |
1 |
Eb |
396 |
5500 |
72 |
61000 |
340 |
0 |
― 7 |
4.2. Détermination de la surface Sud équivalente
Données d'entrée :
Inclinaison des baies (verticale, pente, horizontale)
Orientation des baies (Nord, Sud, Est, Ouest)
Position des baies en flanc de loggias
Nature des menuiseries (bois, PVC...)
Type de vitrage (simple, double...)
Positionnement de la menuiserie (tunnel, nu intérieur...)
Type de masque : proche (balcon, loggias...) ou lointain
Profondeur des masques proches (profondeur balcon)
Largeur des baies.
Positionnement des masques (Nord, Sud...)
Angle de vue des masques lointains
Type de fenêtre ou de porte-fenêtre (coulissante, battante, avec ou sans soubassement...)
La prise en compte des apports solaires exige a minima une saisie par façade des fenêtres du bâtiment. Le calcul de la surface Sud équivalente se fait en sommant les valeurs de Sse pour chaque paroi vitrée i.
Sse = ΣiAi × Ftsi × Fei × C1i
Ai : surface de la baie i (m²).
Ftsi : proportion d'énergie solaire incidente qui pénètre dans le logement par la paroi i.
Fei : facteur d'ensoleillement, qui traduit la réduction d'énergie solaire reçue par une paroi du fait des masques.
C1i : coefficient d'orientation et d'inclinaison pour la paroi i.
4.2.1. Détermination du coefficient d'orientation et du facteur solaire
Le coefficient d'orientation est donné dans le tableau suivant en fonction de l'inclinaison de la paroi et de son orientation :
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Pour une paroi horizontale : C1 = 0,8.
Si Fts est connu pour la baie, saisir directement sa valeur.
Pour les parois en polycarbonate : Fts = 0.4.
Pour les parois en brique de verre pleine ou creuse : Fts = 0.4.
Pour les doubles-fenêtres composées de fenêtres de facteur solaire Fts1 et Fts2, le facteur solaire de la double-fenêtre est : Fts = Fts1 × Fts2.
Dans le tableau suivant, le facteur solaire est donné en fonction des caractéristiques des menuiseries :
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
4.2.2. Détermination du facteur d'ensoleillement
On considère successivement les obstacles liés au bâtiment (balcons, loggias, avancées...), appelés masques proches, et les obstacles liés à l'environnement (autres bâtiments, reliefs, végétation...), appelés masques lointains. On obtient ainsi deux coefficients, Fe1 et Fe2, dont on fait le produit, soit :
Fe = Fe1 × Fe2
En l'absence de masque proche et pour les configurations non présentées ci dessous, Fe1 = 1.
En l'absence de masque lointain, Fe2 = 1.
Conventionnellement, les orientations Nord, Sud, Est et Ouest correspondent aux secteurs situés de part et d'autre de ces orientations dans un angle de 45°. Pour respectivement le Nord et le Sud, les orientations incluent les limites Nord-Est, Nord-Ouest et Sud-Est, Sud-Ouest.
4.2.2.1. Masques proches
4.2.2.1.1. Baie en fond de balcon ou fond et flanc de loggias
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Le tableau ci-dessous donne les valeurs de Fe1 en fonction de l'orientation de la façade et de l'avancée I de la loggia ou du balcon :
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Les coefficients pour les baies en flanc de loggias sont les mêmes que ceux pour les baies en fond de loggias.
4.2.2.1.2. Baie sous un balcon ou auvent
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Le tableau ci-dessous donne les valeurs de Fe1 quelle que soit l'orientation de la façade en fonction de l'avancée I.
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
4.2.2.1.3. Baie masquée par une paroi latérale au Sud
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Si les angles et sont supérieurs à 30°, alors Fe1 = 0.6 ; sinon Fe1 = 1.
4.2.2.2. Masques lointains
4.2.2.2.1. Obstacle d'environnement homogène
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Configuration du masque
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
4.2.2.2.2. Obstacle d'environnement non homogène
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Fe2 = 1 - ∑ 100
Omb
Fe2 = 1 ― ∑
100
Omb correspond à l'ombrage créé par l'obstacle sur la paroi.
La méthode d'évaluation est la suivante :
― on découpe le champ de vision en quatre secteurs égaux ;
― on détermine, pour chacun d'eux, la hauteur moyenne des obstacles ;
― on lit dans le tableau ci-dessous les valeurs correspondantes de l'ombrage, Omb :
Vous pouvez consulter le tableau dans le
JOn° 262 du 10/11/2012 texte numéro 9
Les valeurs figurant dans le tableau sont approximatives. Il est donc possible que le calcul de Fe2 aboutisse à une valeur négative ; dans ce cas, prendre Fe2 = 0.
5. Détermination de l'inertie
5.1. Plancher haut lourd
Plancher sous toiture (terrasse, combles perdus, rampant lourd) non isolé ou isolé par l'extérieur et sans faux plafond (**) et constitué de :
― béton plein de plus de 8 cm ;
― poutrelles et hourdis béton ou terre cuite.
Sous-face de plancher intermédiaire sans isolant et sans faux plafond (**) constitué de :
― béton plein de plus de 15 cm ;
― poutrelles et hourdis béton ou terre cuite.