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Article (Instruction du 1er mars 1996 relative à la gestion statutaire des coopérants du service national)

Article (Instruction du 1er mars 1996 relative à la gestion statutaire des coopérants du service national)

5.4.2. Transmission de l'alerte


Trois modèles de télégrammes (présentés en annexes VIII, IX et X) ont été établis en accord avec le service des transmissions du département. Ils doivent être employés à l'exclusion de tout autre télégramme.
Les adresses sont définies de telle sorte que les intéressés du département et des armées soient servis sans délai.
La contexture des messages est très précise. On ne doit rien en retrancher. On peut, selon les circonstances, ajouter un ou plusieurs paragraphes.
Comme le prévoient les annexes VIII, IX et X jointes (qui reprennent en cela les dispositions antérieures du mémento), l'acheminement des messages doit se faire par le réseau des ambassades sous forme de télégrammes diplomatiques.
En effet, le service des transmissions du département assure une veille permanente, par des procédés techniques avancés ; il est en mesure de retransmettre sans retard les messages sur les réseaux des armées auquel il est lié au niveau du secrétariat général pour la défense nationale (d'où l'adresse télégraphique : Segedefnat).
L'emploi du télex est donc formellement proscrit.
Aux armées, une permanence 24 heures sur 24 est assurée à Saint-Germain-en-Laye par une cellule Evasan qui fait partie de la direction du service de santé du commandement militaire de l'Ile-de-France et qui est en liaison constante avec :
Les hôpitaux des armées (parisiens et de province) ;
L'unité militaire disposant des moyens de transports spécialisés ou non ;
Eventuellement, le S.A.M.U. ou les sapeurs-pompiers de Paris.