Si des poursuites ayant entraîné condamnation ont révélé la fausseté d'un jugement ou arrêt ayant déclaré l'action pénale éteinte, celle-ci pourra être reprise ; la prescription doit alors être considérée comme suspendue depuis le jour où le jugement ou arrêt était devenu définitif jusqu'à celui de la condamnation du coupable de faux ou usage de faux.